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histoire
12 janvier 2011

La pub et les crétins impatients

Comment l'Histoire fait-elle son cinéma ?
Face-à-face entre Pierre Nora et Bertrand Tavernier
A lire dans Le Nouvel Observateur, n° 2407, 23/12/2010.

« L'historien fait savoir, comprendre et sentir, alors qu'un créatif, écrivain ou cinéaste, n'est pas du côté de ceux qui font savoir : il fait sentir complètement et donne à comprendre par des chemins différents »

« Montrer des films historiques à l'école ? Ce serait en tout cas plus vivant ! » (sic)
Mais plusieurs éléments s'y opposent :
. la paupérisation des programmes,
. la rupture du sentiment temporel,
. la formation des profs, etc...

Parmi les réalisateurs cités, en dehors de Tavernier : Jean Renoir, Christian Jaque (François 1er sous les traits de Fernandel), Sacha Guitry, Rachid Bouchareb, Abdellatif Kechiche...

Extraits avec quelques affirmations qui mériteraient débat :

P Nora - « La question de l’enseignement de l’Histoire est indissociable des conditions générales propres à cette époque et là on retrouve la quadrature du cercle : on entend désormais que les élèves apprennent plusieurs langues, quand beaucoup ont déjà du mal avec le français, on souhaite à raison leur enseigner l’informatique, on veut qu’ils fassent plus de sport… Les confectionneurs de programmes s’arrachent les cheveux. Bien sûr, je déplore la paupérisation des programmes : comment peut-on enseigner le christianisme ou l’islam mais pas les deux . L’Asie ou l’Europe, mais pas les deux ?…»

B Tavernier -  … « L’Education nationale a mis très longtemps à prendre l’image au sérieux... »

P Nora - « La question de l’éducation à l’image est essentielle, mais il faudrait commencer par former les enseignants, qui pour beaucoup d’entre eux sont nés dans cette même indifférence à l’Histoire. Et il ne peut y avoir d’éducation à l’image sans enseignement de l’histoire de l’art. Et là nous retombons sur le problème des programmes. Mais l’enseignement le plus en danger en France est sans doute le primaire : les parents veulent seulement que les gosses leur fichent la paix, les professeurs aussi parfois, alors on ne veut pas les brimer en leur apprenant à écrire ! »

B Tavernier - « Face à la TV de Berlusconi, qui en était encore à ses débuts, face à toutes ces coupures publicitaires dans les films, Fellini disait que nous allions engendrer des générations de crétins impatients. On sait aujourd'hui que le temps de concentration maximum de beaucoup ne peut excéder neuf minutes... »

fr1_fern1      fr1_fern2

source : http://monfernandel.free.fr/filmographie.html
et Google images.

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11 décembre 2010

Agrégation : Leçon d'histoire

Lu sur la liste du CVUH :

Pour le jury de l’agrégation externe d’histoire
Michel Cassan
Professeur à l’Université de Poitiers
Président du jury

NOTE D’INFORMATION CONCERNANT LA LEÇON D’HISTOIRE GÉNÉRALE
Déroulement de l’épreuve

1. La préparation
La durée de la préparation est de 6 heures.
Au début de son temps de préparation, le candidat tire au sort le sujet commun aux deux exercices de l’épreuve : une leçon et une présentation d’un document.

Pour préparer les deux exercices de l’épreuve, le candidat dispose des ressources en accès direct de la bibliothèque du concours et des ouvrages référencés dans la base SUDOC.
Il a droit à cinq ouvrages ou articles en sus des livres et revues en accès direct dans la bibliothèque.

2. L’épreuve
*La leçon d’histoire générale est la première séquence de l’épreuve. 
Elle correspond à l’exercice demandé lors des sessions passées, y compris en 2010.
Elle dure 45 minutes : 25 minutes pour la leçon, suivies de 20 minutes maximum pour l’entretien avec la commission.
Elle est notée sur 15 points.

**La seconde séquence de l’épreuve est nouvelle.
Elle dure 15 minutes : 5 minutes de présentation d’un document 
suivies d’un entretien de 10 minutes maximum avec la même commission.
Elle est notée sur 5 points.

Le document (textuel, iconographique, archéologique, statistique, cartographique,…) est en relation avec le sujet de la leçon. Il est choisi par le candidat. Il n’est pas utilisé dans la leçon.
Le candidat exploite le document en s’interrogeant sur la façon dont sa compétence professionnelle orientera son activité de professeur dans l’étude de documents historiques en classes de lycées.

NB. Lors de la présentation du document et durant l’entretien avec le candidat, la commission évaluera :
-les motifs du choix du document ;
-les différentes dimensions du document ;
-les divers usages possibles du document.

Un intervalle de cinq minutes environ sépare la leçon de la présentation du document.

2 novembre 2010

Carlo Ginzburg et les guillemets

-  Carlo Ginzburg était l'invité des Lundis de l'histoire pour 2 ouvrages :
. Le fil et les traces. Vrai faux fictif
l filo e le tracce. Vero falso finto, Feltrinelli, 2006
. Mythes, emblèmes, traces. Morphologie et histoire.
Miti emblemi spie. Morfologia e storia, Einaudi, 1986, n.ed. 2000
Clues, Myths and the Historical Method, Baltimore, 1989

A enregistrer en mp3 et écouter en différé
pour les rapports entre l'histoire et la fiction,
l'anomalie et la série, l'art de bien placer les guillemets...
http://tinyurl.com/lundis-ginzburg

CR de Patrick Boucheron pour Le Monde des livres 28/10/2010

Les ouvrages de Carlo Ginzburg chez Amazon

Lire également Carlo Ginzburg (13/06/2010) :
http://clioweb.canalblog.com/archives/2010/06/13/18265524.html

CarloGinzburg
source : http://sauvage27.blogspot.com/2009/02/

 

 


19 octobre 2010

A quoi sert l'histoire ?

La question a été posée en 2009-2010 par Emmanuel Laurentin, chaque vendredi, aux invités de la Fabrique de l'histoire. Un ouvrage publié par les éditions Bayard regroupe les transcriptions des réponses, souvent volontairement décalées, d'une quarantaine d'historiens et d'historiennes. Le web aurait permis de laisser ces interventions de 4 mn 30 durablement en ligne.  Les choix faits par France-Culture ne le permettent pas. Dommage.

Dans sa préface, Emmanuel évoque le sourd regret qui tire en arrière le milieu historien, et sa reconstruction idéalisée des années 1970 quand l’histoire apparaissait comme la discipline reine des sciences sociales, et quand la « nouvelle histoire » bénéficiait de tirages exceptionnels, avec le soutien des médias de masse.

Gérard Noiriel, un des absents de cet ouvrage, a analysé la « crise (multiforme) de l’histoire ». En 1996, il appelait à la tenue de vraies controverses entre historiens. La brutalisation en cours (notamment l’évolution récente du recrutement universitaire) ne semble guère propice aux débats rationnels entre historiens, pas plus que la politique suivie depuis 2007.
Lire les notes prises par Michel Lévêque, et sa mention du CR par Garner Guillaume. Sur la «crise de l'histoire». In: Vingtième Siècle. Revue d'histoire. N°59, juillet-septembre 1998. pp. 161-164.
http://lethiboniste.blogspot.com/2006/07/gerard-noiriel-sur-la-crise-de.html
http://www.revue-lebanquet.com/reposoir/pdfs/c_0000146.pdf

.
Extraits de l'ouvrage

La réponse de Philippe Artières : « A quoi sert l’histoire ? A rester en vie »

Pour Pascal Ory, l'histoire « a servi à justifier les dynasties, puis les nations, puis les impérialismes ». Mais elle n'a, en revanche, « jamais servi à éviter une seule guerre, une seule crise économique (ou) une seule révolution »
(CR de Th Wieder dans Le Monde 15/10/2010).

p 68 - La question est posée à Fabrice d’Almeida, à Berlin, par un vendeur de voitures de luxe qui « projetait sur les autres son sentiment de vacuité » : « Je veux savoir où passent mes impôts »
FdA répond hommage aux morts et sens à donner aux désordres du monde.
Il a rencontré … « des hommes et des femmes qui n’ont aucun doute sur l’utilité de l’histoire. Ils veulent la servir, car ils l’aiment, tout simplement ». Selon lui, « L’histoire est la dernière discipline chevillée au réel… »

Raphaëlle Branche : « L’histoire détache du fatalisme et du sentiment d’irrémédiable. C’est fondamentalement sa manière à elle d’être une force de liberté… »

Régine Robin : « Du roman national à l’invention de soi, des images virtuelles aux simulacres du biographique, l’histoire dans sa traque de vérités partielles reste malgré tout le grand garde-fou de notre époque ».

Claire Zalc : « L’histoire répond aux grandes questions, par de petites histoires, des histoires d’hommes, de femmes et d’enfants qui disent bien mieux que les grands mots la diversité des trajectoires et la force des persécutions… »

André Burgière : « Raul Hillberg, Jean-Louis Flandrin et d’autres pionniers audacieux n’ont pas simplement inventé des sujets, ouvert des pistes nouvelles. Ils ont approfondi notre connaissance de l’homme. En nous arrachant à nos certitudes, ils ont renforcé notre capacité à critiquer l’ordre du monde. C’est à cela que doit servir l’histoire ».

.
La question est contestée par ceux qui citent Lucien Febvre : « Une histoire qui sert est une histoire serve » (1919).

Claire Lemercier : « Je sais bien qu’il n’y a pas de leçons de l’histoire, mais je sais aussi que si les historiens se taisent, tous les pouvoirs, tous les groupes de pression et tous les Eric Zemmour du monde les tireront à leur place »

Pascal Ory : « La question n’est pas de savoir à quoi sert l’histoire mais à qui…
L’histoire sert à quelques individus, qu’on appellera conventionnellement historiens, à satisfaire une curiosité, dont on sait qu’elle est un vilain défaut, et le hasard fera (ou ne fera pas) que d’autres individus affectés du même défaut, ce qui à un certain stade de propagation le transforme ipso facto en vice y trouveront des réponses à des questions que l’historien ne se sera parfois jamais posées on aura en effet compris que l’historien est le moins intelligent de tous les chercheurs en sciences sociales ».

Patrick Boucheron : Le latin des humanistes italiens faisait la différence entre la vetustas (ce qui est dépassé et hors d’usage) et l’antiquitas, ce passé qui ne passe pas mais demeure … disponible pour vivre l’aujourd’hui
« En ce sens, il n’y a d’histoire que contemporaine... si certains choisissent de se faire médiéviste, c’est pour éclairer ce qui demeure obscur dans ce que nous sommes en train de devenir ».

Quelle histoire ? LG Tin part des préjugés de jeunes filles à l’égard du féminisme… « Au delà du stigmate social qui pèse sur le féminisme en général, on enseigne, dans le meilleur des cas, l’histoire des résultats. On leur a appris que dans sa grande bonté, le général de Gaulle a octroyé le droit de vote aux femmes à la fin de la 2 GM. Or si on leur avait appris l’histoire des processus, elles auraient entendu une toute autre version. Elles auraient appris que après plusieurs décennies de combats acharnés, les mouvements féministes avaient finalement obtenu le droit de vote pour les femmes ».

Annette Wieviorka : « Au-delà des pétitions de principe, ou du travail d’écriture auquel s’adonnent encore avec passion et bonheur ceux dont le métier est de faire de l’histoire, on peut craindre que la question ne se décline bientôt au passé. A quoi servait l’histoire ? »

Claire Soltinel : « Pour être honnête, ce n’est pas une question que je me pose très souvent parce que je fais aussi de l’histoire par plaisir, pour l’immense excitation intellectuelle que donne l’exploration de ces situations singulières, augmentée encore par l’échange d’idées avec mes collègues…pour la facilité avec laquelle ce plaisir se communique aux étudiants…L’histoire est aussi un plaisir d’intelligence, et en cela, elle est en même temps merveilleusement inutile et indispensable… »


aquoisert

A quoi sert l'histoire, la table ronde de Blois en photos :

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Les historiens présents dans l'ouvrage :

Philippe Artières
Christine Bard
Annette Becker
Patrick Boucheron
Raphaèlle Branche
André Burguière
Joêlte Burnouf
Christophe Charle
Sophie Coeuré
Maryline Crivello
Fabrice d’Almeida
Emmanuel Droit
Ariette Farge
Mathieu Flonneau
Etienne François
Jean-Noël Jeanneney
Patrick Garcia
Claude Gauvard
Sudhir Hazareesingh
Isabelle Heullant-Donnat
Jacques Le Goff
Claire Lemercier
Judith Lyon-Caen
Jean-Clément Martin
Gabriel Martinez Gros
Jean-Luc Mayaud
Philippe Minard
Pap Ndiaye
Nicolas Offenstadt
Pascal Ory
Michelle Perrot
Christophe Prochasson
Régine Robin
Daniel Roche
Henry Rousso
Bénédicte Savoy
Claire Sotinel
Louis-Georges Tin
Sylvie Thénault
Julien Vincent
Danièle Voldman
Annette Wieviorka
Claire Zalc

18 août 2010

H-Net, 200 listes en Histoire

H-Net, c'est la structure qui héberge la liste H-Français depuis sa création en juin 1997.
une adresse pour interroger les archives récentes de la liste : http://clioweb.free.fr/ahflogs.htm

C'est aussi près de 200 autres listes, dans tous les domaines de l'histoire :
par exemple American Indian History and Culture,
British and Irish History,
German History,
French empire and colonialism,
Teaching High School History and Social Studies,
History of Education,
Cinema History,
Utopian Studies ...

http://www.h-net.org/lists/

.
Revue de presse via Netvibes : http://www.netvibes.com/clioweb#Presse

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6 juin 2010

Les Alpes au coeur de l'histoire

« Les Alpes, au cœur de l'histoire  :
défis de la montagne et pari de l'innovation
».

La Régionale de Grenoble organise du 25 au 28 octobre 2010 les IXèmes AGORAS de l'APHG

 

Le programme, au 10 mai 2010, en format pdf
(une version actualisée suit)

 

Le bulletin d'inscription à renvoyer à Grenoble, éventuellement

Ces journées d'entretiens, conférences, visites, excursions sont ouvertes à tous les enseignants d'histoire et de géographie venus de toute la France, adhérents ou non. Ce temps fort est l'occasion de faire le point sur les connaissances historiques et géographiques de la région hôte. Elles sont l'occasion de diffuser les derniers états de la recherche et des problématiques universitaires dans nos disciplines. Elles offrent enfin un temps de rencontre essentiel.


alpes

20 mai 2010

CNRD 2011 : répression de la Résistance

« La répression de la Résistance en France par les autorités d'occupation et le régime de Vichy »
Le thème de l'année scolaire 2010/2011 est publié au BO (source HG)
http://www.education.gouv.fr/cid51646/mene1000409n.html

La Fondation de la Résistance publiera en octobre 2010 la brochure pédagogique accompagnant enseignants et élèves. Dans son numéro du mois de juin 2010, la « Lettre de la Fondation » donnera des pistes de réflexion...
http://www.fondationresistance.org/pages/action_pedag/concours_r.htm

Les sujets précédents depuis 1961 :
http://www.memoire-net.org/article.php3?id_article=158

.
- Après la mise en ligne des fiches de 1,3 millions de « morts pour la France », après celles des guerres coloniales, le Service historique de la défense a mis en ligne 200 000 fiches des soldats tués entre 1939 et 1945.
http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/

- Le cinéma au prisme de l’histoire
Débat du jeudi dans la Fabrique du 20 mai. A podcaster en fichier mp3

.
- Très grand succès de la conférence de David Bates sur Guillaume le Conquérant, bâtisseur d’un empire qui a duré jusqu’en 1204. L'amphi du Château a été trop petit.
Les extraits projetés pendant la conférence : http://clioweb.free.fr/perso/1temp/bates/

13 mai 2010

Le cinéma au prisme de l'histoire

Colloque international organisé par Sylvie Dallet (Paris-Est/CHCSC-UVSQ), Kristian Feigelson (IRCAV-Paris 3) et Nadja Vuckovic (EHESS) sur deux lieux : EHESS (20 et 21 mai 2010) et MSH Paris-Nord (19 mai)
programme : http://tinyurl.com/ehess-cine-histoire

extraits :
Le cinéma est à la fois source et agent de l'histoire...
"Cinéma et Histoire / Histoire du Cinéma : opposition apparente, complémentarité dialectique"
L'expérience d'Histoire Parallèle
Les rivages Ferro
La révolution de 1917 et le cinéma
La science-fiction comme objet historique

 

10 mai 2010

APHG : Agoras 2010

« Les Alpes, au cœur de l’histoire :
défis de la montagne et pari de l’innovation ».

IXèmes AGORAS de l'APHG,
organisés par la Régionale de Grenoble
du 25 au 28 octobre 2010


Le programme, au 10 mai 2010, en format pdf

Le bulletin d'inscription à renvoyer à Grenoble, également


alpes

Fondées en 1983 pour leur première édition à Marseille, les AGORAS de l’APHG (Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie) ont lieu tous les 3 ou 4 ans en moyenne dans une région différente. Marseille, Quimper, Lille, Strasbourg, Toulouse, Clermont-Ferrand, Poitiers et Reims ont accueilli les huit éditions précédentes des AGORAS.

Ces journées d’entretiens, conférences, visites, excursions, dont l’organisation est prise en charge alternativement par les Régionales de l’APHG, sont ouvertes à tous les enseignants d’histoire et de géographie venus de toute la France, adhérents ou non. Ce temps fort est l'occasion de faire le point sur les connaissances historiques et géographiques de la région hôte. Elles sont l’occasion de diffuser les derniers états de la recherche et des problématiques universitaires dans nos disciplines. Elles servent en même temps à mieux faire connaître, à tour de rôle, les caractères et spécificités propres des régions concernées aux enseignants et leur procurent nombre d’illustrations et d’exemples concrets qu’ils peuvent réinvestir dans leurs cours, leurs recherches, réflexions, ouvrages universitaires ou pédagogiques. Elles offrent enfin un temps de rencontre essentiel pour la diffusion des connaissances et les échanges entre historiens et géographes des cycles secondaire et universitaire.

Deux ans après les AGORAS de Reims (octobre 2008), ces IXèmes AGORAS, célébreront le centenaire de l’APHG. Nous les dédierons à Jean Peyrot, président d’honneur de l’APHG, fondateur des AGORAS en 1983, décédé le 28 novembre dernier. Surnommées "AGORAS alpines", elles auront pour thème « Les Alpes, au cœur de l’histoire : défis de la montagne et pari de l’innovation ».

Pierre FOUCRAS, Co-président de la Régionale de Grenoble


grenoble

Clioweb, version en html


30 avril 2010

Revue de presse HG - Avril 2010

01/04/2010    Poissons 2010
01/04/2010    Téléphobie
01/04/2010    Programmes 2de : blocage en SES
02/04/2010    Toujours plus riches
02/04/2010    La Nation et l'Ecole
02/04/2010    Internet, révolution culturelle
03/04/2010    Le journalisme bananier
03/04/2010    Déclin de l'institution scolaire ?
04/04/2010    Géopolis revient
04/04/2010    Internet plus cher
05/04/2010    La mémoire en plaques
05/04/2010    Van Gogh
06/04/2010    S'informer à l'heure du numérique
06/04/2010    Les risques de la Sarkocaïne
07/04/2010    Pas Tout Compris ?
07/04/2010    Mémoires de la Shoah : A Wieviorka
08/04/2010    Mémoires et Histoire
08/04/2010    Retraites, l'autre scénario
08/04/2010    La France des camps
09/04/2010    Aigues-Mortes, 17 août 1893
10/04/2010    Le grand écart
11/04/2010    bouclier et dé-formation
12/04/2010    Haro sur internet
13/04/2010    Préfet des études ?
14/04/2010    Une nouvelle Géo ?
15/04/2010    Monde de l'Education
15/04/2010    La neutralité du Net
16/04/2010    L'Afrique en toutes lettres
17/04/2010    Toile de fonds
18/04/2010    @.Ampère et l'histoire de l'électricité
18/04/2010    Clic - Chronique internet 410
19/04/2010    Michel Onfray, Freud et l’Histoire
20/04/2010    Table Claudienne
20/04/2010    Une affligeante initiative
21/04/2010    HG programme de 2de 2010
21/04/2010    Universitaire en Suisse
22/04/2010    Chronique 410
22/04/2010    Après les camps
22/04/2010    Flux tendus
23/04/2010    Pondichéry, bac HG 2010
23/04/2010    Dé-Formation des profs
24/04/2010    L'Etat pyromane
25/04/2010    Laurent Mucchielli
25/04/2010    Un fichier des décrocheurs
26/04/2010    Journée des déportés
27/04/2010    Enseigner face à Facebook
28/04/2010    Vieux tubes
29/04/2010    Ida Grinspan
29/04/2010    Le Waterloo du travail

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