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Clioweb, le blog
31 octobre 2010

Un jeu de taquin

Série consacrée à la hamsterisation par Louise Fessard pour Mediapart, à lire sur le site Sauvons l'Université

- Masterisation : un jeu de taquin dans l’éducation (24 octobre)
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article4125

- Une remise en cause du recrutement national des profs ? (22 octobre)
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article4120

- Les élèves sont-ils les cobayes de la réforme de la formation des profs ?

dans le 9.3, « une première vague de 160 nouveaux instituteurs ont pris une classe jusqu’à la Toussaint, avant de la redonner à une seconde vague de débutants, qui étaient jusqu’alors en observation dans la classe de leur tuteur. Ces derniers repartiront en janvier en formation, laissant la place à d’autres enseignants ».
Louise Fessard, Mediapart, 27 octobre 2010
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article4137

Louise Fessard a aussi écrit sur les technologies éducatives et sur les compétences.
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?louisefessard

 

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31 octobre 2010

Les hebdos et l'actualité

OBS
numéros précédents

MARIAN
Ils sapent les valeurs de la République...

LEXPRESS
Sarkozy face à la rue

       VA
va : Pouvoir et Argent...
photo de l'Assemblée !!! Pourquoi pas l'Elysée ?

LEPOINT


SEPAR

C'est la rue... un auditeur chez Daniel Mermet
http://www.youtube.com/watch?v=sMQY92RXe3A&sns=fb

 

30 octobre 2010

Face à la persécution

zalc_991

Face à la persécution : 991 Juifs dans la guerre,Odile Jacob, 9/9/2010
La Fabrique, à partir de la 10e minute (1)
http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10076-29.10.2010-ITEMA_20249941-0.mp3

La lecture par Ivan Jablonka pour La vie des idées - 28-09-2010
http://www.laviedesidees.fr/Le-993e-homme.html

Sosche Salik est décédée en 2003. Les archives de sa petite entreprise ont été le point de départ de cette recherche.
La Voix du Nord, 13/09/2010

Publications de Claire Zalc
http://www.ihmc.ens.fr/Publications-Claire-Zalc.html

. (1)
14 e : Vous n'êtes pas spécialistes de la 2 GM ?
Claire Zalc, vous avez travaillé sur le petit commerce dans les années 30...

Oui, c'est le sujet de ma thèse, mais l'historien n'a pas à porter des étiquettes toute une vie de chercheur.. Les itinéraires doivent rester ouverts, on a bien besoin d'un peu d'air frais...

25e : habituellement, on attend des réponses toutes faites, parce qu'on se projette dans l'époque et on se demande ce qu’on aurait fait. En fait, la quantification incite à la prudence. Certains critères peuvent paraître déterminants (la famille - avec plus de 3 enfants- l'âge - les très jeunes et les plus âgés quittent difficilement Lens, de 16 à 30 ans, on est davantage mobile). Mais il n’y a aucun déterminisme, et chaque personne garde une marge de manœuvre par rapport à tous ces déterminants.
Cela oblige l’historien à penser et à savoir penser la complexité.

30e : Qu'est-ce qu'être juif ?
du point de vue des juifs lensois, ce n'est pas seulement être persécuté par les autorités, c'est aussi choisir de dire ou de taire sa judéité, de la vivre à différents moments, mois par mois.

du point de vue des autorités, c'est l'arbitraire le plus complet ; les critères sont flous et instables (race, religion...). Les statuts de 1940 et 1941 renvoient le problème aux grands parents sans réponse précise [plutôt la race en 40, plutôt la religion en 41]. Pour la police et la justice de Vichy, ceux qui se sont déclarés sont repérés et donc exposés aux arrestations et aux rafles.

Pour ceux qui ont survécu, ces déclarations ou non déclarations les ont poursuivi après la guerre et après la fin de la destruction planifiée par les nazis.

41e : l’étude suit les 456 déportés à Malines et à Fives-Lille, puis à Auschiwtz-Birkenau. 17 seulement sont revenus.
Les sources sont ténues, mais elles existent encore, malgré la volonté de destruction des nazis.

.
- Requiem allemand de Amos Elon

Dans le grain à moudre du 26/10, Les Juifs et l'Allemagne. L'élite fait le choix de l'assimilation (cf Walter Rathenau), de la langue et de la culture allemande. Mais les ultra-nationalistes racistes ne veulent voir dans les écrivains de langue allemande de la Mitteleuropa que des "cosmopolites"...
en mp3 : http://media.radiofrance-podcast.net/

29 octobre 2010

Etats faillis, powerpoint et caméras

Lecture souriante et distanciée, à partir de la table ronde sur les Etats faillis au dernier RVH de Blois. http://www.canalc2.tv/video.asp?idVideo=10010&voir=oui

Un intervenant est venu avec son ordinateur portable et sa présentation en powerpoint.

12'35 : "sans plus attendre, je vais passer la parole à Serge..."
13' : un jeune technicien s'affaire sur le clavier ... problème de réglage dit PB, l'animateur...
... son micro roule sur la table ...
13' 40 : le technicien s'écarte
15' : les images valent de grands discours
15' 35 : cela ne marche toujours pas
15' 56 : un autre technicien arrive dans le champ de la caméra
16 : PB modifie l'ordre de passage... Vincent ...

28' : L'insécurité ... "on y sent la montée des frustrations de jeunes sans perspectives...
Le discours est le même au micro et sur la diapo... à quelques détails près.

Les caméras et le monteur se heurtent à l'éternel dilemme :

Que filmer ?
Le conférencier et l'écran en plan large, même quand ce dernier n'est plus lisible ?

1_sm_ppt

Les diapos projetées ?
(pour le conférencier, comment mettre en image l'instabilité et l'insécurité ?)

3_sm_instabilite

Le conférencier  ? (occupé à faire défiler les écrans et à tourner ses pages papier).

2_sm_conf

Que fait le public ?

4_sm_public

Que font les autres intervenants ? Ils écoutent parfois...
Comment peuvent-ils voir le texte et les images projetés dans leur dos ?

5_sm_autresconf

Que peut faire l'animateur du débat pendant cette présentation via powerpoint ?

6_sm_pb

A l’écran, une femme voilée et le texte : « L'aide publique au développement devra être repensée... Il lui faudra se réformer sérieusement et tirer les leçons de son échec en Afghanistan
Pour contribuer à faire mentir cette idée d'un inéluctable choc des civilisations décrit par Huntington ».

7_sm_choc

.
Pour ceux qui voudraient poursuivre l'analyse,
- Le  powerpoint , ce n'est pas un historien universitaire qui s'en sert, mais l'ex-directeur de l'Agence Française pour le Dvt.

Sur le powerpoint qui ""rendrait  stupide"" (beaucoup de choses ""rendent stupides"" dans les médias américains)  :-):-) , lire ou écouter Frank Frommer La pensée PowerPoint. Enquête sur ce logiciel qui rend stupide, coll. Cahiers libres, éd. La Découverte 224 p., 17 EUR.
Ou Télérama : PowerPoint, laveur de cerveaux, la critique du livre dans Télérama 25/10/2010

- Les historiens font cours, écrivent parfois des livres qui leur donnent accès aux micros ou aux caméras. Ils savent parler d'histoire de l'art sans montrer ce qu'ils prennent en support d'une étude de cas.

Les questions habituelles des pédagogues sur la place et le rôle des images seraient à poser à propos de cette intervention.
http://clioweb.canalblog.com/archives/2010/10/13/19321504.html

- Le sort réservé aux questions venant d'un public qui ne limite pas aux pairs mériterait aussi d'être questionné.
.

28 octobre 2010

Généalogie du cours magistral

Le web a une force (et donc une faiblesse) : il donne à voir en public des pratiques (et des opinions) qui habituellement ne sortent pas des murs de la classe, sauf en cas d'inspection, ou  via les cahiers, ou ce qu'en disent les élèves.

Après la colonisation, le cours magistral.
Les vidéos des RVH de Blois soulignent la domination de la parole. Dans la table ronde sur les Etats faillis, un seul intervenant se sert d'un ordinateur et du powerpoint. Les historiens préfèrent parler, après avoir écrit un livre.

Dans le dernier Cartable de Clio, Pierre-Philippe Bugnard s'intéresse à la généalogie du cours magistral, la rupture de la fin du XIXe (A Prost) ou du XIXe (P Caspard) inversant le rapport entre cours et exercices ( 8 h d'étude pour 4 h de cours en lycée au milieu du XIXe ).

Il s'intéresse aussi au sort de la dissertation en philo au XIXe, étudiée par Bruno Poucet, à l'écart entre les attentes de l'inspection ( développer l'esprit critique... des profs plutôt que celui des élèves) et la réalité de l'agrégation ( les candidats n'y parviennent pas) et celle de la classe, les élèves ayant à davantage à apprendre et à reproduire un état des connaissances admises qu'à débattre rationnellement d'une thèse. (« il n'est pas inutile à des élèves de voir leur professeur penser en quelque sorte devant eux » écrivent les inspecteurs de philo en 1890...).
L'article de PP Bugnard (2010) n'est pas en ligne, mais celui de Bruno Poucet en 2001 l'est.
http://histoire-education.revues.org/index1007.html
http://histoire-education.revues.org/index844.html

Sur le web, pour lire PP Bugnard sur  « l'écart entre les intentions d’enseignants animés d’une véritable illusion constructiviste et les activités réelles des élèves » (1), il faut aller sur le site des Cahiers pédagogiques, dans le no sur Apprendre l'histoire (mars 2009) et lire son CR sur une note de synthèse de la Revue Française de Pédagogie (2008).
http://www.cahiers-pedagogiques.com/spip.php?article4292

Le Cours magistral : modalités et usages (XVIe-XXe siècles) a été au coeur d'un séminaire du Service d'histoire de l'éducation en 2006. Les Ressources documentaires sont en ligne (cahiers d'élèves) ais pour lire en ligne l'introduction d'Annie Bruter, dans la revue Histoire de l'Education (2008), il faudra soit attendre 2013 soit débourser 5 euros à Cairn, pour une revue qui coûte 10 euros aux abonnés. Une présentation du séminaire est en ligne... mais date de 2004.

.
Ne pourrait-on envisager des formes plus légères et plus réactives de circulation pour des recherches menées sur fonds publics ? Avant le web, c'était tout l'intérêt de "la littérature grise" et des conférences organisées dans le cadre de la défunte formation continuée.
Aujoud'hui, le web permet une diffusion élargie.
A condition de l'intégrer pleinement dans le mouvement des idées et dans la formation intellectuelle.
Et de prendre en compte ces publications dans une carrière professionnelle.
Au lieu de se complaire paresseusement dans la lamentation et dans une légende noire du web.

...
(1) dans ce CR, PPB note « l'écart entre les intentions d’enseignants animés d’une véritable « illusion constructiviste » et les activités réelles des élèves plutôt confinées aux opérations intellectuelles de « basse tension ». La structure même du cours dialogué renforce le constat d’un modèle d’enseignement clos, en cinq temps : question/réponse/évaluation (sanction)/formalisation/compléments. L’enseignant contrôle le processus d’argumentation et de vérité en asseyant l’autorité du savoir comme la sienne. L’élève, privé d’une réelle responsabilité énonciatrice, est simplement invité à adhérer au discours à apprendre ».

« ...dans la logique constructiviste canonique, les savoirs s’élaborent contre les erreurs, par franchissement et non contournement de l’obstacle des représentations spontanées... »

Selon lui, « ...on peut renverser le contrat didactique, avec des situations d’enseignement-apprentissage réflexives auxquelles même les élèves moins préparés ou rétifs se plient volontiers. Sinon, on continuera d’assister au détournement du modèle constructiviste dont les étapes (collecte de données, mise en relation, hypothèses, tentatives d’explication, synthèse) sont rapidement réduites à une formule impositive avec au final une conclusion plaquée, sans que les élèves n’aient la possibilité d’entrer dans la dimension critique de l’histoire ».
.

 

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27 octobre 2010

LCP : Robert Badinter

A enregistrer et à écouter en différé, Robert Badinter sur la Chaine parlementaire - Sénat.
(notamment sa réponse à la question :
pourquoi n'avez-vous pas mis fin vous-même à la dépendance du parquet à l'égard de l'exécutif ?)

Il met en avant la possibilité pour tout justiciable, depuis 1981, de porter un recours devant les cours européennes

L'écouter aussi sur l'éventualité de "l'audition libre" (sic), une astuce politique pour dégonfler l'explosion du nombre des gardes à vue

diffusions :
jeudi 28/10/2010 à 14h00
vendredi 29/10/2010 à 04h30
http://www.publicsenat.fr/emissions/preuves-par-3/

dans qq semaines, l'entretien sera sans doute "A voir et à revoir" grâce à Internet
http://www.publicsenat.fr/emissions/les_preuves_par_3/

27 octobre 2010

Retraites, capitalisation et famille

Sevriena, l’entreprise sarkozyste de démolition des retraites. Thierry Brun, Politis 16/10/2010
http://www.politis.fr/Sevriena-l-entreprise-sarkozyste,11865.html

La loi en cours contient quelques articles destinés à booster la retraite par capitalisation... Le groupe Malakoff et de Médéric dirigé par GS mise gros sur l’adoption de la réforme. Il a récemment créé avec la CNP (CA 31,5 Mds d’euros en 2007) une société au nom de Sevriena pour tirer profit de la retraite par capitalisation...

- Le Clan Sarkozy pille les retraites !
Roberto Fiorini cite Mediapart - ttp://robertofiorini.blog4ever.com/

- une compilation sur un site d'Attac (?)
http://clioweb.free.fr/presse/1temp/retraites-famille.htm

- La retraite rêvée,  Rue 89  03/03/2010

 

 

26 octobre 2010

Blois 2010 : Robert Badinter

Lors de la conférence de clôture, à voir et à écouter en différé, Robert Badinter a insisté sur les bonnes relations entre les magistrats et les historiens.

Il a réaffirmé la liberté de l'historien, le respect de sa liberté de recherche. Il n'appartient pas au magistrat de se substituer à l'historien, ni de trancher un différend entre historiens (motifs changé par une cour d’appel à propos d’un procès touchant au négationnisme). En général, en cas de poursuite, la bonne foi de l'historien est volontiers reconnue. Avec une exception : Zeev Sternhell n'a pas eu ce bonheur face à un académicien (Jouvenel) en 1984.

Plusieurs facteurs ont modifié les rapports entre magistrats et historiens en France depuis 1945.
- l'introduction de la catégorie du crime contre l'humanité
- le vote de l'imprescriptibilité en 1964
- le passage du culte des héros à l’accent mis sur le sort des victimes.
- Dans les années 1980, les avocats des victimes ont pu engager des procédures sur des faits qui n'avaient pas été jugés et se constituer en partie civile. Dans ces procès, la justice avait à juger des faits anciens ; elle a fait appel au concours des historiens. Leur faire prêter, à l’audience, le serment du témoin (dire la vérité, toute la vérité) est une absurdité. Le doute scientifique est un élément central du métier d’historien. On aurait dû se contenter de les faire intervenir en experts, en « amis de la cour ».
Leur présence d’historiens au procès Papon a entraîné des débats vifs entre historiens de métier.

La période de Vichy a été très riche en crimes divers ; beaucoup ont été jugés après 1945. Mais du fait de cette évolution, c'est la complicité de génocide qui l'a emporté sur tous les autres aspects, en France et plus encore à l'étranger.

Robert Badinter attribue le statut des juifs à la folie xénophobe et antisémite d'Allibert, le garde des sceaux. Il estime que tous ceux qui vivaient en France en octobre 1940 avaient bien d'autres urgences (occupation, vie quotidienne, prisonniers...). Or, ajoute RB, sans minorer l'étendue des crimes et de la complicité de Vichy, c'est en France que le plus grand nombre de juifs a été sauvé du génocide. Pas à cause de Pétain ou de Laval, mais « grâce à l'immense réseau de protection discrète et invisible qui a permis aux familles traquées d'échapper à la déportation. Je ne leur dirai jamais assez ma reconnaissance »
49e : il dit sa reconnaissance à tous ceux qui lui ont permis de survivre à Cognin, un village de Savoie.
http://www.la-vie-nouvelle.fr/actualite/Le-message-d-avenir-de-Robert-Badinter-2024.html

A mesure que se révélait l'horreur du génocide, on assiste au passage du révisionnisme au négationnisme. La négation du génocide devient insupportable à tous ceux dont les familles ont été victimes de l'entreprise hitlérienne de destruction. D'où le vote de la loi Gayssot. Dans cette loi, la poursuite ne porte pas sur la négation du génocide, mais sur le rejet du jugement de Nuremberg, le rejet de l'autorité de la chose jugée.

La loi de 2005 a soulevé de très vives protestations.
Ce n'est pas au législateur de dire et d'écrire l'histoire.
La dernière mission parlementaire a fortement déconseillé le recours à de nouvelles lois mémorielles ou compassionnelles.

Lire également le dossier RVH dans la Nouvelle République , même si la promotion du journal et la politique politicienne occupent parfois plus de place que l'histoire.

26 octobre 2010

Les géographes français et la 2 GM

« À l’épreuve de la seconde guerre mondiale : géographes et géographie française »,
L'EHGO organise une seconde journée d'étude sur ce thème
le Mardi 9 novembre 2010 à l'Université Paris Diderot (salle des thèses)
http://calenda.revues.org/nouvelle17760.html
beauguittelaurent (at) parisgeo.cnrs [point] fr

En 2009, 2 thèmes ont été traités :
« Écrire et publier sous surveillance » ;
« Hors des frontières » (Jean Gottmann exilé aux USA, Pierre Deffontaines et ses liens avec les géographes espagnols.
http://clioweb.free.fr/debats/geo-vichy.htm

En 2010 deux nouveaux thèmes seront abordés :
- Les parcours, en France ou à l’étranger, de géographes français durant cette période.
- "La deuxième demi-journée a une prétention plus exploratoire et cherche à mettre en évidence tant les actions relatives à ce qui deviendra après-guerre l’aménagement du territoire que les questions historiographiques et épistémologiques liées aux (dis)continuités observables au cours et de part et d’autre de la période".

25 octobre 2010

Blois 2010 en vidéo

Comme les années précédentes, plusieurs tables rondes de la Halle aux Grains sont disponibles sur le site Canal C2. Une initiative appréciée par tous ceux qui n'ont pas pu faire le déplacement de Blois, et ceux qui ont fait la queue sans pouvoir assister aux tables rondes faute de place.  http://www.canalc2.tv/video.asp?idvideo=10044 - liste en colonne de gauche

- La conférence de clôture
Robert Badinter décrit l'évolution des relations entre historiens et magistrats depuis 1945. Il montre comment dans le procès des dirigeants de Vichy, le passage des poursuites pour trahison et entente avec l'ennemi à des procès au nom de la complicité de crime comme l'humanité a changé le regard sur le régime de Vichy. Il évoque aussi les débats entre historiens quant à la participation à ces procès (notamment celui de Papon).

- De l’amnistie à l’imprescriptible, faut-il oublier les crimes ?
Philippe Bilger, Claude Gauvard, Henry Rousso, Maurice Sartre, Laurent Theis

- Etats faillis, défi humanitaire ou menace stratégique ?
Pascal Boniface, Rony Brauman, François Grunewald, Vincent Hugeux, Serge Michaïlof

- L’injustice de la justice, la conférence de Michel Onfray

D'autres sont attendues, comme " Enseigner le droit et la justice ".
Les tables rondes de l'IUT ont été filmées. Peut-être seront-elles mises aussi en ligne.

Lire « L'injustice de la justice par le grisant Michel Onfray »  un article de la Nouvelle République (17/10/2010)

.
- France-Culture. Le lien vers les archives semble revenu ce week-end.   L'interface semi-graphique ne permet d'afficher que 10 titres par page à la différence de l'ancienne qui permettait de balayer  d'un seul coup tous les titres d'une année. Hier une version provisoire affichait encore 50 titres par page.

Pour La Fabrique, on peut remonter jusqu'en 2006 (au lieu de 2004 dans l'interface précédente) mais sans accès aux fichiers audio bien entendu. Lu dans la version temporaire :   "Se répète toutes les semaines tous les Lundi et tous les Mardi et tous les Mercredi et tous les Jeudi et tous les Vendredi jusqu'au Je Juil 21 2011"

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- Les retours du dimanche
La République des "casseurs",  sur le mouvement social, sa sociologie, et les discours de l'exécutif et des médias.
avec Fabien Jobard, politiste
http://www.franceculture.com/emission-les-retours-du-dimanche.html-0
en mp3, http://media.radiofrance-podcast.net/

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