Berlusconi, le marketing télévisuel
- La réforme du lycée fait le contraire de ce qu’elle prétend faire
écrit Arnaud Parienty, un collègue de SES, http://tinyurl.com/alter-parienty
Lycées : changez le logiciel !
La vision d'Europe Ecologie (Blandin, Duflot, Meirieu)
http://www.meirieu.com/nouveautesblocnotes.htm
Hadopi à l'école : Transformons la Propagande en Opportunité !
http://www.framablog.org/index.php
L'Etat s'apprête à contractualiser 58 établissements privés du supérieur, universités cathos ou Essec.. qui vont recevoir davantage de financements publics. Le Monde cité par http://www.sauvonsluniversite.com/
La SNCF perd son monopole du transport de voyageurs (Libération 13 déc)
.
Dans Le Monde Opinions, http://www.lemonde.fr/web/sequence/0,2-3232,1-0,0.html
- Berlusconi : le mystère d'une popularité
Pierre Musso revient sur 3 facteurs majeurs :
. l'exploitation du vide politique au début des années 90 et le mode de scrutin
. un parti structuré à partir d'une entreprise
. Le marketing et la mise en spectacle télévisuel.
« Dans un pays où près de 90 % de la population se déclare catholique, il
colle aux valeurs de l'Eglise et de la famille, par exemple sur
l'avortement, la pilule du lendemain, l'enseignement privé ou la
présence des crucifix dans les lieux publics. Dans un pays où l'Etat
est faible et assez inefficace, le Cavaliere excelle dans
l'anti-étatisme. Son néolibéralisme célèbre l'antipartitocratie,
l'antibureaucratie, et critique les institutions publiques comme la RAI
ou les magistrats régulièrement qualifiés de "communistes". Berlusconi
est toujours positionné "anti", de façon à recycler la critique
populaire des pouvoirs : il est anti-politique en politique et même
anti-médias, malgré son empire médiatique. Il a ainsi pu se permettre
de déclarer "Pauvre Italie, elle n'a pas les médias qu'elle mérite !" ».
Lire aussi http://clioweb.free.fr/debats/musso.htm
Le 5 déc, une manifestation pour demander sa démission organisée via Facebook
Le 13 déc, à Milan, "Berlusconi a été frappé au visage à l'issue d'un meeting" (Le Monde)