1848 et la littérature
Lamartine repoussant le drapeau rouge, Hôtel-de-ville 25 février 1848
Lamartine - voir aussi https://eman-archives.org/FLIM/items/show/6506
et le tableau de Philippoteaux - Wikipedia - Carnavalet
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1848 et la littérature
Fabula, journée d’étude qui devait avoir lieu à l’EHESS le 28 mai 2020
https://www.fabula.org/colloques/sommaire6982.php
Introduction – 1848 et la littérature
Véronique Samson et Mathieu Roger-Lacan
« Ce que la révolution doit à la littérature » : une polémique de 1848
Judith Lyon-Caen et Rebecca Powers
Le roman-feuilleton, un medium quarante-huitard ?
Littérature, politique, morales et mémoires de la Deuxième République (1848-1852)
Sébastien Hallade
Écrire au présent, 1848-1852. Le Salut public et Les Excentriques de Champfleury
Véronique Samson
1848. La Révolution française, entre mémoire et histoire (Michelet, Dumas, Sand)
Corinne Saminadayar-Perrin
Éloquences ouvrières, 1830-1848
Dominique Dupart
Professions de foi ouvrières
Dinah Ribard
1848, ou la problématisation de la culture populaire chez Michelet
Paule Petitier
Quel peuple écrit l’histoire ?
1848 dans l’Histoire d’un homme du peuple d’Erckmann-Chatrian
Marie Davidoux
48, le siècle cassé en deux : les Goncourt historiens de leur temps
Éléonore Reverzy
« Un cygne d’autrefois se souvient que c’est lui » :
généalogie littéraire du cryptage et de l’enfouissement de 1848 sous le Second Empire
Mathieu Roger-Lacan
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La Fabrique de l’écrivain national
« La Fabrique de l’écrivain national », d’Anne-Marie Thiesse : la littérature, clé de voûte de l’idée nationale
Dans un essai ambitieux, l’historienne raconte comment certains écrivains, à partir du XVIIIe siècle,
ont pu incarner la construction des nations, dans l’espace européen et ailleurs - Roger Chartier, Le Monde 20.09.2019
https://www.lemonde.fr/livres/article/2019/09/21/la-fabrique-de-l-ecrivain-national-d-anne-marie-thiesse-la-litterature-cle-de-voute-de-l-idee-nationale_6012521_3260.html
3 thèses :
1 - Le génie singulier de certains écrivains fait de la littérature un lieu privilégié
où se reconnaissent la conscience d’appartenance et le principe spirituel qui définissent la nation
2 - La publication du patrimoine oral fut la condition de possibilité d’une littérature nationale
(chants d’Ossian, cycle arthurien...)
3 - « Toute littérature, si et seulement si elle est authentiquement nationale, participe de l’universel »
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Résister par l'art et la littérature
Résister par l'art et la littérature
détail d'Autoportrait de Jean Daligault fait à Trêves en août 1944 - MRD Besançon
La brochure de la Fondation de la Résistance est en ligne
Le CNRD, le site du Ministère
http://eduscol.education.fr/cid45607/concours-national-resistance-deportation.html
La brochure de la Fondation de la Résistance (36 pages, sommaire sur ce blog, le 15.10.2015)
pdf : http://www.fondationresistance.org/catalogue_2015_2016/common/data/catalogue.pdf
http://www.fondationresistance.org/catalogue/index.html
CNRD 2016, Résister par l’art et la littérature
Les artistes, les mots du CNRD,
http://www.cercleshoah.org/spip.php?article457
Le CNRD
http://www.cercleshoah.org/spip.php?rubrique53
MRD Besançon, Portofolio CNRD 2015-2016
http://www.citadelle.com/images/20151221_Portfolio_CNRD_2015-2016_compress%C3%A9.pdf
dossier CHRD Lyon
http://www.chrd.lyon.fr/static/chrd/contenu/pdf/pedago/CNRD/CHRD_CNRD_2015.pdf
Musée de la Résistance en ligne - Aeri
ressources nationales, ressources locales
http://museedelaresistanceenligne.org/pedago_espace.php?pave=4&concours=a
Nantes, sitographie 2015-2016
http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/histoire-geographie-citoyennete/ressources/sitographie-du-cnrd-2015-2016-724321.kjsp?RH=PEDA
(existe aussi pour 2010-2014)
rappel, blog Clioweb 15.10.2015
http://clioweb.canalblog.com/tag/cnrd
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Résister par l'art et la littérature
Résister par l'art et la littérature
détail d'Autoportrait de Jean Daligault fait à Trêves en août 1944 - MRD Besançon
La brochure de la Fondation de la Résistance est en ligne
Concours National de la Résistance et de la déportation
CNRD 2015-2016 :
Thème : « Résister par l’art et la littérature »
- Les pistes proposées par le Cercle d'étude
http://www.cercleshoah.org/spip.php?article457
- Le sommaire de la brochure de la Fondation de la Résistance
http://www.fondationresistance.org/catalogue/index.html
Avant-propos
I - Art et littérature pour combattre dans la France occupée
• Conditions de la création littéraire et artistique sous l’Occupation
• Au début de la résistance : des tracts littéraires
• La littérature et l’art dans la presse clandestine
• La résistance des écrivains
• Contourner la censure et jouer avec les mots
Focus : Les Éditions de Minuit
Focus : Le silence de la mer de Vercors et l’écrivain Édith Thomas
• La poésie au coeur de la résistance littéraire
• Exposer ou s’exposer ? Résistance et arts plastiques
Focus : René Iché adresse La déchirée au général de Gaulle
• Dessins et caricatures : une arme de guerre psychologique
• Résister en musique
• Témoigner de l’insupportable
• La littérature et l’art pour vivre l’expérience résistante
Jean Moulin, alias Romanin, artiste
II - Art et littérature, armes de la France libre
• Défendre les valeurs humanistes de la culture française
• La France libre affirme son identité grâce aux arts plastiques
• La littérature combattante des Français libres
• Les artistes au service de la France libre
• Créer pour mobiliser
Focus : Joseph Kessel, auteur d’hymnes à la Résistance
III - Art et littérature pour continuer le combat et survivre dans les prisons et les camps
• Dans les prisons
• Dans les camps d’internement
• En déportation
Focus : Germaine Tillion, Le Verfügbar aux Enfers
Focus : Boris Taslitzky, un peintre dans l’internement et la déportation
Liens cités :
Canope : http://www.reseau-canope.fr/cnrd/
INA : http://fresques.ina.fr/jalons/
CDG : http://www.charles-de-gaulle.org
France Libre : http://www.france-libre.net/concours-national-de-la-resistance-et-de-la-deportation-2016/
OdL : http://www.ordredelaliberation.fr
ECPAD : http://acp.ecpad.fr/concours-national-de-la-resistance-et-de-la-deportation/
IMEC : http://www.imec-archives.com/linstitut/
USC Shoah : http://sfi.usc.edu/french (Spielberg)
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CNRD 2016 : Résister par l'art et la littérature
Concours National de la Résistance et de la déportation
CNRD 2015-2016 :
Thème : « Résister par l’art et la littérature »
La brochure sera élaborée par la Fondation de la Résistance et diffusée en octobre 2015
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=90108
Les thèmes de 1961 à 2010
http://www.memoire-net.org/article.php3?id_article=158
2010/2011 : « La répression de la Résistance en France par les autorités d'occupation et le régime de Vichy ».
2011-2012 : « Résister dans les camps nazis »
2012-2013 « Communiquer pour Résister (1940-1945) ».
2013-2014: « La libération du territoire et le retour à la République ».
2014-2015 : « La libération des camps nazis, le retour des déportés et la découverte de l'univers concentrationnaire ».
http://www.fondationresistance.org/
http://www.cercleshoah.org/spip.php?page=recherche&recherche=CNRD
source MRN - CRDP de Créteil - Google images
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Comment raconter l'histoire ?
Comment raconter l’histoire ? - salon du livre Caen 2015
débat animé par Marie-Madeleine Rigopoulos, journaliste
Paula Jacques, Au moins il ne pleut pas, Stock
« Dans un roman inspiré de sa propre expérience, Paula Jacques revient sur l’Israël des pionniers
en s’attachant aux pas de deux orphelins juifs chassés d’Egypte ».
Elise Fontenaille-N’Diaye, Blue Book, Calmann-Lévy
« Enquêtant sur son arrière grand-père officier,
la romancière Elise Fontenaille-N’Diaye découvre une page sombre et oubliée (sic) de l’histoire coloniale allemande ».
http://www.liberation.fr/livres/2015/01/14/la-colonie-genocidaire_1180716
http://la-plume-francophone.com/2015/03/15/blue-book-elise-fontenaille-ndiaye/
Le génocide des Herreros et des Namas
http://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_des_Héréros_et_des_Namas
Ivan Jablonka, L’histoire est une littérature contemporaine. Manifeste pour les sciences sociales
CR Dimitri Julien - 10.03.2015 - http://ver.hypotheses.org/1338
CR Elara Bertho, Fabula, 04.02015 - http://www.fabula.org/acta/document9267.php
CR Serge Martin http://ver.hypotheses.org/1338
Paul Veyne et Ivan Jablonka : « L’histoire peut s’écrire pleinement », Le Monde 02.10.2014
http://www.lemonde.fr/livres/article/2014/10/02/paul-veyne-et-ivan-jablonka
« Si l’on cesse un instant de réduire le littéraire au fictionnel [et à la fable], on s’aperçoit que la littérature est bien plus vaste que le roman. Elle n’a même aucun mal à accueillir, parmi « les écrits du réel » un type de récit comme celui que propose l’histoire.
« L’histoire est d’emblée littérature, puisque c’est dans le texte qu’elle se fabrique ». Plus précisément, elle est une littérature contrainte par ses propres exigences, ses outils et ses méthodes
« Une fois brisé le vieux couple antagoniste littérature-histoire, usé par ses propres querelles, Jablonka peut souhaiter le mariage de l’histoire (et des sciences humaines) avec des quêtes formelles plus ambitieuses. Il peut revaloriser la forme de l’enquête et militer pour l’usage du « je ». Il peut aspirer à rattraper le rendez-vous manqué de l’histoire et de la modernité littéraire ».
L’historien comme écrivain et comme témoin - Vox Poetica 16.05.2014
http://www.vox-poetica.org/entretiens/intJablonka.html
extraits :
« J’essaie de produire des textes qui puissent être considérés comme littéraires, sans rien abandonner des exigences propres aux sciences sociales ».
« Je ne crois pas aux distinctions entre « historien », « écrivain », « littéraire ». Ces termes tendent à devenir des étiquettes. Dans mon enseignement comme dans ma pratique, je plaide pour une rencontre entre les genres – ce qui ne veut pas dire qu’il faille abolir les méthodes ou les disciplines. Je ne pense pas qu’il y ait des identités, des professions ou des postures dont les individus seraient prisonniers. La seule chose qui compte, ce sont les exigences intellectuelles et les manières d’écrire ».
« Depuis la dernière moitié du XIXe siècle, il y a une illusion scientiste qui consiste à prétendre que le savant est un être impersonnel, sans intérêt ni attaches, capable d’accéder à une neutralité apollinienne. Mais le chercheur n’a pas à rougir de ce qui fonde son individualité, du moment qu’il en a conscience, qu’il ne bascule pas dans la rancœur ou le dénigrement, qu’il s’efforce de montrer avec honnêteté en quoi son propos est situé, c’est-à-dire inscrit familialement, socialement, politiquement, intellectuellement. Le défi auquel nous sommes confrontés n’est pas d’abandonner notre enveloppe d’individu, mais d’assumer ce qui fait partie de l’histoire, notre présent, nos émotions, nos attendus, nos filiations dans tous les sens du terme. On ne doit être ni l’otage, ni la dupe de soi-même ».
« Ce qu’on appelle la « non-fiction » a été inventé par Rodolfo Walsh à la fin des années 1950, puis pratiqué par des journalistes et écrivains américains dans les années 1960-1970. Qu’est-ce qu’on entend par « non-fiction » ? Le contraire de la fiction, certes, mais aussi une écriture du réel, le factuel coulé dans le romanesque. Maintenant, je pose la question : quand je dis « Mon grand-père a été condamné à cinq ans de prison », est-ce de la non-fiction ? C’est de la non-fiction parce que c’est vrai. Mais pourquoi est-ce vrai ? Parce que je le prouve en m’appuyant sur des archives que je recoupe avec des témoignages. C’est cela qui fonde le rapport au vrai. L’« autorité de l’historien » provient de cette aptitude à démontrer, à prouver, à douter aussi, et non pas de ses diplômes ou de sa position académique ».
« On croit souvent que l’historien est tourné vers le passé. Mais l’histoire est actuelle, quelle que soit la période qu’elle se donne, car l’historien travaille toujours à partir de questionnements et de sources qui existent hic et nunc. Sa matière première, c’est un matériau qui existe dans le présent. Même si elle vient d’un passé très reculé, c’est toujours une trace qui a voyagé jusqu’à nous. L’historien est un individu, un petit-fils, un père, un citoyen sur lequel déteignent un certain nombre de problèmes et de débats du présent. Je suis fils d’orphelin, donc fils de mon siècle ».
Comment fonder des sciences sociales qui procurent du plaisir au lecteur et au chercheur ?
Jablonka analyse les formes multiples de la fiction.
« Au XIXe, Balzac et Zola s’intéressent à des questions que les historiens de l’époque n’avaient pas l’idée d’aborder. Ouvrons Germinal : on y parle de la sexualité, de la mort, des loisirs des ouvriers, de leurs conditions de travail, de leurs maladies professionnelles… A la même époque, les historiens écrivent une histoire qui nous paraît aujourd’hui désuète ».
La littérature ne se réduit pas au roman (cf le non-fiction novel aux USA - Truman Capote)
Jablonka propose de
1 - Faire de « la fiction de méthode» un élément du raisonnement (une question, une volonté d'expliquer le réel)
2 - Inventer de nouvelles formes littéraires pour les sciences sociales
Il dit son scepticisme sur l'objectivité et la neutralité prétendues de l'historien. Il préfère les termes de transparence et dhonnêteté : dire d'où l'auteur parle, exposer sa méthode, désacraliser son discours, faire une histoire qui refuse d'enlever les échafaudages et qui montre le travail en cours
Il veut remplacer l'histoire-résultat par une enquête vérité, entrer dans une double dimension d'écriture et de réflexivité
« L'histoire est d'autant plus scientifique qu'elle est littéraire »
- Ivan Jablonka, Histoire des grands-parents que je n'ai pas eus,
« J'ai tenté de libérer mes grands-parents de leur propre mort »
Ils ont raconté la shoah, Télérama 29.03.2015
http://www.telerama.fr/idees/ivan-jablonka
Ivan Jablonkla est rédacteur en chef du site La vie des idées
LM : arts et prostitution
Dans Le Monde, série La prostitution à travers les arts :
le cinéma (chapitre 1)
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/11/28/la-prostitution-a-travers-les-arts-le-cinema-chapitre-1_3520754_3246.html
La chanson réaliste (chapitre 2)
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/11/28/la-prostitution-a-travers-les-arts-la-chanson-realiste-chapitre-2_3522357_3246.html
Le blues (chapitre 3)
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/12/01/la-prostitution-a-travers-les-arts-le-blues-chapitre-3_3523426_3246.html
L’opéra (chapitre 4)
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/12/03/la-prostitution-a-travers-les-arts-l-opera-chapitre-3_3524621_3246.html
La littérature (chapitre 5)
http://www.lemonde.fr/livres/article/2013/12/03/la-prostitution-a-travers-les-arts-la-litterature-chapitre-5_3524765_3260.html
Deux héroïnes de théâtre (chapitre 6)
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/12/04/la-prostitution-a-travers-les-arts-les-comediennes-de-theatre-chapitre-6_3525431_3246.html
Le théâtre de Bertolt Brecht (chapitre 7)
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/12/04/la-prostitution-a-travers-les-arts-le-theatre-de-bertold-brecht-chapitre-7_3525449_3246.html
La prostitution à travers les arts : la peinture (chapitre 8)
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/12/07/la-prostitution-a-travers-les-arts-la-peinture-chapitre-8_3526620_3246.html
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Photographie et littérature
Le physionotrace - images indexées par Google images
- Le physionotrace (fr ?) - physiognotrace (en) est une technique inventée par GL Chrétien (1745-1811). Elle permet de mécaniser le portrait de profil par l'usage d'un pantographe équipé d'un œilleton de visée.
Lors d'une conférence pour la Régionale de Caen de l'APHG, Guillaume Mazeau (Paris 1) a présenté des portraits de l'époque révolutionnaire, réalisés entre autres par Edme Quennedey.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Edme_Quenedey
Philippe Ortel a consacré un article au sujet :
« Le physionotrace à l’ombre des Lumières », communication présentée
lors de la journée d’étude « Phlit, nouveaux développements », 22-23 mars 2012, Université Rennes 2, labo Cellam.
« le physionotrace affiche plus que jamais son rôle de transition, non seulement entre deux systèmes de valeurs, mais aussi entre deux médias (la gravure et la photographie) et, à travers eux, entre deux siècles ».
Le physionotrace se développe au temps du sensualisme … « un portrait peut donner d’une personne à partir de l’impression visuelle exacte qu’il en procure » … Ortel évoque le portrait de Sendhal en 1807, à Paris, chez Quenedey semble-t-il. Il cite Gilles-Louis Chrétien, Edme Quenedey, Gonord et Bouchardy (moins connus)
http://phlit.org/press/?p=1240
Portraits conservés par Gallica, d'après Google images
Pour la technique, voir le blog de Maxim Kutsa
http://maxmaxovich.blogspot.fr/2013/02/physionotrace.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Physiognotrace
- Photo et littérature, c'est un projet soutenu par l'université Rennes 2
http://phlit.org/
« Paul Edwards, Soleil noir, photographie et littérature des origines au surréalisme »,
CR par Dominique de Font-Réaulx, Études photographiques, Mai 2009,
http://etudesphotographiques.revues.org/2602
ILLOUZ, Jean-Nicolas, Nerval et Baudelaire devant Nadar
http://phlit.org/press/wp-content/uploads/2012/01/Illouz-Nerval-Der-der.-Plaanches2.pdf
Ortel mentionne le LAHRA (LAboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes)
http://larhra.ish-lyon.cnrs.fr/index_fr.php
“L’art du portrait en France de 1760 à 1840 : stratégies commerciales et modèles économiques”, journée d'étude octobre 2012
http://larhra.ish-lyon.cnrs.fr/Informations/Agenda_fr.php?ID=697
Lyon, silhouettes d'une ville recomposée. Architecture et urbanisme 1789-1914
http://larhra.ish-lyon.cnrs.fr/Informations/Publications_fr.php?ID=489
Un atlas imaginaire. Cartes allégoriques et satiriques, Laurent Baridon
http://larhra.ish-lyon.cnrs.fr/Informations/Publications_fr.php?ID=639
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Quelle littérature enseigner ?
Quelle littérature enseigner aujourd’hui ? - Le Monde Opinions, 21.03.2013
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/21/quelle-litterature-enseigner-aujourd-hui_1852034_3232.html
- « Transmettre les textes ne se limite pas à transférer des connaissances », analyse Yves Citton, Grenoble III
« Mettre au premier plan le partage contagieux de l'exaltation interprétative conduit à relativiser toute une série de problèmes. Enseigner les textes canoniques du passé ou la littérature émergente de la contemporanéité ? Les deux, bien entendu … »
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/21/transmettre-les-textes-ne-se-limite-pas-a-transferer-des-connaissances_1852037_3232.html
- Pour des romans adaptés à notre temps, L'école doit s'ouvrir aux contemporains, affirme Dominique Viart, Lille III
« C'est par Les Onze de Michon, et par l'usage dramatisé qu'il en fait, que les étudiants redécouvrent Michelet. Grâce à Quignard, leur attention est orientée vers une littérature latine aussi tonique que méconnue. Cessons donc d'opposer la littérature et le monde, les écrivains aux savants, les contemporains aux modernes ou aux classiques. La littérature présente a vocation à se faire le creuset des dialogues et des échanges. Elle nous aide à penser autrement ».
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/21/pour-des-romans-adaptes-a-notre-temps_1852038_3232.html
En finir avec la querelle des Anciens et des Modernes, Violaine Houdart-Merot (Cergy-Pontoise)
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/21/en-finir-avec-la-querelle-des-anciens-et-des-modernes_1852035_3232.html
Les enfants d'immigrés ont droit aux classiques, Cécile Ladjali, écrivaine et professeure de lettres dans le secondaire.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/21/les-enfants-d-immigres-ont-droit-aux-classiques_1852039_3232.html
Que de moments volés à la littérature, Mariel Morize-Toussaint (agrégée des lettres)
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/21/que-de-moments-voles-a-la-litterature_1851494_3232.html
"Aux professeurs de conserver la main !", scande Alexandre Jardin, écrivain.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/03/21/aux-professeurs-de-conserver-la-main_1852036_3232.html