20 ans d'Internet
Micro-Hebdo, n°1 1998 - n° 48 -2002
20 ans d'internet à Nantes. Et ailleurs aussi. Olivier Ertzscheid, Affordance 23.09.2015
http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2015/09/20-ans-internet-nantes-et-ailleurs.html
Une journée type sur Internet en 1999, Fabian Ropars, 03.09.2013
Windows 95, IE5 ou Netscape, Multimania, Altavista, etc.
http://www.blogdumoderateur.com/journee-type-internet-en-1999/
Internet en chroniques, abécédaire Historiens & Géographes 21.11.2010
http://clioweb.canalblog.com/archives/2015/10/01/32711031.html
Rétrospective dans les Chroniques Internet
389 : http://clioweb.free.fr/chronique/aphg389.pdf
397 : http://clioweb.free.fr/chronique/aphg397.pdf
423 : http://clioweb.free.fr/chronique/aphg423.pdf
Big data et objets connectés - Faire de la France un champion de la révolution numérique
fichier pdf Institut Montaigne
Chercher, trouver, valider
chercher de manière efficace, croiser les sources, s'appuyer sur le travail des personnes ressources, combiner actualité et longue durée, éviter le formalisme (booléens), et faire une lecture distanciée (Make sure you are in the right place)...
http://clioweb.free.fr/peda/valider.htm
History and Computing
La question centrale : qu'apporte l'ordinateur au travail de l'historien de métier ?
http://clioweb.canalblog.com/tag/historyandcomputing
Egotechnohistoire, 25 ans d'ordi en HG
http://clioweb.free.fr/clio/egotechnohistoire.htm
Histoire et Mémoires de la 2 Guerre mondiale :
http://clioweb.free.fr/dossiers/39-45/chronique-3945.pdf
Nuit et Brouillard
http://clioweb.free.fr/dossiers/39-45/chronique-3945.pdf
Wikipédia en débats - Roy Rosenzweig, Eric Bruillard, Christian Vandendorpe, etc.
http://clioweb.free.fr/wiki/wikipedia.htm
Lecture dite lente ?
Les magazines se lamentent à la suite de Nicholas Carr.
Dans des articles de 2 pages, au milieu de pleines pages de pub ou d'innombrables brèves...
Hypocrisie ?
Internet : l'extase et l'effroi.
Manière de Voir, Le Monde diplomatique oct 1996
http://www.monde-diplomatique.fr/mav/HS1/
20 ans plus tard, les médias se servent du web pour faire leur auto-promotion
et en font un bouc-émissaire en l'accusant de tous les maux.
Sur ce terrain, gendarmes, psychologues et profs technophobes réussissent au-delà des prévisions.
http://clioweb.canalblog.com/tag/paucot
Dans Google Trends, les mentions de Web 2.0 (2005-2013) et de Social Media (2009-2015)
- « 20 ans d'Internet à Nantes. Et ailleurs aussi » - Dans le cadre de la Digital Week de Nantes, Olivier Ertzscheid évoque le chemin parcouru par les internautes, le poids excessif des algorithmes et l’avenir inquiétant du capitalisme numérique. Affordance 23.09.2015
La Chronique n’a pas encore 20 ans. Les entrées de l’abécédaire (2010) sont toujours valides (Liens, métier, Internet militant...) et les chroniques archivées témoignent des controverses (Wikipédia, Nuit & Brouillard...) et des mutations survenues (rétrospectives dans les 389, 397 et 423). http://clioweb.canalblog.com/tag/20ans
L’Internet scolaire ne part pas du vide. Il prend la suite de l’informatique scolaire. La revue de l'EPI choisit 1971 comme date de départ ; des machines arrivent en lycée en 1983, avant les premiers compatibles PC et les premiers Macs. Le plan Informatique pour tous a laissé un mauvais souvenir (Thomson MO5, nanoréseaux), mais beaucoup d’enseignants ont alors mis le pied à l’étrier. Vers 1997, les débuts du réseau ont été laborieux : connexion aléatoire par modem 56 k, tarification à la seconde, chargement très lent des images (d'où le poids essentiel de l'écrit).
Par la suite, l’évolution technique a été impressionnante. Google Trends aide à en dater les étapes : les mentions de l’ADSL, c’est surtout vers 2004, le « web 2.0 », c’est entre 2006 et 2009, les « social media » depuis 2009. Aujourd’hui, il n’y a plus besoin de 30 disquettes pour installer un système d’exploitation. La mode est à « l’Internet des objets » et au « Tout Connecté ». Les images sont omniprésentes. La situation actuelle suscite d’autres difficultés : la massification et la connexion permanente brouillent la frontière entre travail scolaire et loisirs privés influencés par le monde du spectacle.
L’Internet des pionniers était libre et gratuit ; les « jardins fermés » actuels enserrent les internautes et font commerce des données personnelles. Quant à l’Education, beaucoup d’entreprises voudraient en faire un marché lucratif.
L’Internet, ce sont surtout des hommes et des femmes. Ceux qui aident à la rédaction de la Chronique internet sont mentionnés. Les pionniers ont fait le choix de mutualiser les pistes de travail, et leur confiance dans la démarche de chaque enseignant les a dispensé d’attendre une éventuelle validation hiérarchique. « La liste (H-Français) a rempli un vide que l'institution avait laissé se créer » écrivait D. Pascaud en 2002.
Depuis, l’Internet militant a été submergé par le marketing et la promotion ; le web sert de vitrine aux institutions, sans prise en compte réelle des attentes des internautes. De plus, avec la massification, ces professionnels ont découvert que la technologie est à l’image de la société ; le poids des affinités et des inimitiés recouvre souvent des rivalités de pouvoir (cf. Chronique 381).
Les débats sur l’Ecole et le numérique sont en partie biaisés. L’écart entre les discours et les usages réels a été souligné. Pour un journaliste, tout devrait être ludique. Les magazines se lamentent, au milieu de pleines pages de pub, de la disparition supposée de la lecture dite lente. L’édition d’un livre reste une porte d’entrée plus assurée dans les médias que la conception d’un site web de qualité. Quant à la pédagogie, quelle place peut-elle espérer dans une société où les commerciaux et les communicants occupent le haut du pavé ?
.
Internet en Chroniques
En cours de rédaction de la Chronique internet 432, reproduction d'un billet du 21.11.2010,
un abécédaire dont l'essentiel reste valide, y compris à l'âge du smartphone et de l'Internet mobile
Internet en Chroniques
paru l'Abécédaire, Historiens & Géographes n° 412
version html : http://clioweb.free.fr/chronique/abecedaire/abcd.htm
.
Le succès actuel d’Internet est incontestable. Les derniers manuels de seconde en attestent. Les enseignants, par choix ou sur commande, ont appris à tirer parti de L’alchimie des multitudes (F Pisani) dans la préparation de leurs cours et en classe. Des premiers SIL’Z aux réseaux actuels à haut débit, que de chemin parcouru ! Entre 1997 et 2010, plus de cinquante Chroniques ont accompagné cette progression des usages d’Internet en Histoire et en Géographie.
(En 2005, un point sur 7 ans de Chronique)
Technologies éducatives. Internet est né en dehors de l’école. Sa réussite est celle de la culture populaire. Cependant, les pionniers ont mesuré son intérêt pour l’éducation. Le réseau a bénéficié de l’acculturation permise par quinze ans d’informatique pédagogique (1985-2000). En classe, quand les effectifs sont adaptés, l’ordinateur et Internet ont trouvé leur place, souvent au service d’une pédagogie active (modules, ECJS voire TPE). Aujourd’hui, le vidéoprojecteur et le tableau numérique renforcent plutôt le cours magistral, alors que les élèves exploitent le cloud computing et le web 2.0. A la dernière rentrée, loin des annonces sur le « Tout Numérique », Internet a été convoqué pour travestir le retard de manuels conçus en flux tendus. Comme une vulgaire roue de secours.
Métier. Internet n’a pas révolutionné l’écriture de l’histoire (cf le programme ATHIS, Rolando Minuti). Le réseau a cependant modifié l’exercice du métier, pour le chercheur et pour l’enseignant : accès aux archives, diffusion des travaux des historiens (revues en ligne, radio en différé)... La vidéo en ligne joue un rôle croissant pour ceux qui enseignent une lecture distanciée de l’image. Mais à lui seul, Internet ne peut compenser le recul de la formation continue ni faire oublier la suppression de la formation professionnelle en alternance : la pédagogie ne se réduit ni au « ludique » ni à « la tenue d’une classe ».
Listes de diffusion. Le réseau, pour nos disciplines, c’est un espace de travail à distance, où, hors du contrôle institutionnel, des professionnels mettent en commun leurs pratiques, leurs réussites et leurs doutes… Des listes de diffusion ( H-Français, Biblio-fr ), des forums ( Schoolhistory, SLN Geography…), des portails ( WebLettres ) ont préparé l’émergence de communautés numériques, avec leurs affinités et leurs inimitiés. Les outils du web 2.0 prennent la suite.
Traiter ou Communiquer. L’ordinateur est un outil exceptionnel dans le calcul et le traitement des données. Le succès de Google Earth est connu, tout comme sa combinaison du planétaire et du local. Géoclip illustre tout l’intérêt de la cartographie numérique. L’épreuve de croquis au bac a nourri un très intéressant travail d’équipe entre enseignants. Toutes ces productions ont alimenté les sites académiques, les blogs pour la classe et les sites indépendants, personnels ou associatifs.
Les moins de 20 ans en Basse-Normandie - carte lissée - Sister - Géoclip
Liens. Internet est devenu une source documentaire incontournable, grâce à sa grande capacité d’archivage, au travail des internautes et aux liens entre les pages web. Des bases exceptionnelles complètent l’apport des manuels : Web Gallery of Art, Wikimedia Commons, Survol de France, Newseum… Le réseau fait entrer « le monde » à l’école, mais à la différence des manuels, il n’en fournit pas une lecture scolaire ; il met sur le même plan le loisir et le travail.
http://lefredthouron.pagesperso-orange.fr/
L’énormité des contenus accessibles d’un clic peut submerger les élèves et perturber leur attention. Elle incite à réaffirmer le rôle de l’enseignant qui n’est plus celui qui « réinvente la roue », année après année. Elle souligne l’importance d’une veille documentaire collective, pour repérer les personnes ressources et écarter le bruit documentaire. Internet Archive redonne parfois vie aux adresses périmées…
Dans certains domaines, un réel effort serait nécessaire pour enrichir le web francophone en accès libre et gratuit. De plus, la France, pays réputé jacobin, gagnerait à harmoniser les adresses des sites éducatifs, sur le modèle du suffixe .edu utilisé par les universités aux Etats-Unis.
Valider. La fiabilité d’Internet est sans cesse questionnée, parfois davantage que la pédagogie qui accompagne implicitement son usage. Certains se contentent d’une validation hiérarchique. Enseigner la pratique d’une lecture distanciée est préférable, surtout face aux discours des médias. Le « virtuel » omniprésent, c’est en fait du « réel » : le travail des internautes, la circulation des idées sont aussi concrets que les prouesses techniques et leur financement par la société. L’obsession de la « nouveauté » mériterait également d’être analysée.
Hans Holbein, Les Ambassadeurs, National Gallery, 1533, Web Gallery of Art
Google Art Project donne accès à une reproduction en ultra haute définition
(zoom en haut à droite).
Le détail est impressionnant. Pas sûr qu'il soit essentiel à la lecture et à la compréhension du tableau.
http://clioweb.free.fr/art/ambassadeurs.htm
Droits. Des associations proposent des contenus dont les droits d’exploitation ont été négociés au préalable. De plus, pour l’image comme pour la vidéo, rien n’interdit de solliciter les auteurs et d’obtenir une autorisation pour des usages non commerciaux.
Controverses. Certains technophobes voudraient « débrancher l’école ». Selon eux, Google Books menacerait la lecture, Wikipedia incarnerait « l’erreur à haut débit », le web rendrait « encore plus bête » et conduirait vers « une dictature des idiots» … Après la télévision, Internet la nouvelle cible d’une presse qui oublie le sens de nuance, balançant entre l’extase et l’effroi. La légende noire se nourrit tantôt de la nostalgie des humanités et de Gutenberg, tantôt d’une allergie aux excès de la promotion commerciale ou des annonces institutionnelles. Plusieurs spécialistes, dont le regretté Roy Rosenzweig, ont souligné l’écart entre les discours et les usages sociaux concrets : la numérisation ébranle le système hérité des siècles précédents, mais le web n’a jamais empêché de penser, de lire et d’écrire.
Internet militant. De nombreuses associations dynamiques savent tirer pleinement parti de l’outil exceptionnel qu’est Internet, pour questionner, débattre, mobiliser - sans oublier d'archiver en vue du travail des historiens.. cf Matériaux n° 79 - 2005. Le réseau des réseaux est au cœur de nombreux enjeux civiques : respect des libertés individuelles, protection de la vie privée, situation des droits économiques et sociaux… Autant de thèmes à débattre en classe.
.
La Chronique internet : http://clioweb.free.fr/chronique.htm
.
Internet en Chroniques
Internet en Chroniques
à paraître dans l'Abécédaire, Historiens & Géographes n° 412
version html : http://clioweb.free.fr/chronique/abecedaire/abcd.htm
.
Le succès actuel d’Internet est incontestable. Les derniers manuels de seconde en attestent. Les enseignants, par choix ou sur commande, ont appris à tirer parti de L’alchimie des multitudes (F Pisani) dans la préparation de leurs cours et en classe. Des premiers SIL’Z aux réseaux actuels à haut débit, que de chemin parcouru ! Entre 1997 et 2010, plus de cinquante Chroniques ont accompagné cette progression des usages d’Internet en Histoire et en Géographie.
(En 2005, un point sur 7 ans de Chronique)
Technologies éducatives. Internet est né en dehors de l’école. Sa réussite est celle de la culture populaire. Cependant, les pionniers ont mesuré son intérêt pour l’éducation. Le réseau a bénéficié de l’acculturation permise par quinze ans d’informatique pédagogique (1985-2000). En classe, quand les effectifs sont adaptés, l’ordinateur et Internet ont trouvé leur place, souvent au service d’une pédagogie active (modules, ECJS voire TPE). Aujourd’hui, le vidéoprojecteur et le tableau numérique renforcent plutôt le cours magistral, alors que les élèves exploitent le cloud computing et le web 2.0. A la dernière rentrée, loin des annonces sur le « Tout Numérique », Internet a été convoqué pour travestir le retard de manuels conçus en flux tendus. Comme une vulgaire roue de secours.
Métier. Internet n’a pas révolutionné l’écriture de l’histoire (cf le programme ATHIS, Rolando Minuti). Le réseau a cependant modifié l’exercice du métier, pour le chercheur et pour l’enseignant : accès aux archives, diffusion des travaux des historiens (revues en ligne, radio en différé)... La vidéo en ligne joue un rôle croissant pour ceux qui enseignent une lecture distanciée de l’image. Mais à lui seul, Internet ne peut compenser le recul de la formation continue ni faire oublier la suppression de la formation professionnelle en alternance : la pédagogie ne se réduit ni au « ludique » ni à « la tenue d’une classe ».
Listes de diffusion. Le réseau, pour nos disciplines, c’est un espace de travail à distance, où, hors du contrôle institutionnel, des professionnels mettent en commun leurs pratiques, leurs réussites et leurs doutes… Des listes de diffusion ( H-Français, Biblio-fr ), des forums ( Schoolhistory, SLN Geography…), des portails ( WebLettres ) ont préparé l’émergence de communautés numériques, avec leurs affinités et leurs inimitiés. Les outils du web 2.0 prennent la suite.
Traiter ou Communiquer. L’ordinateur est un outil exceptionnel dans le calcul et le traitement des données. Le succès de Google Earth est connu, tout comme sa combinaison du planétaire et du local. Géoclip illustre tout l’intérêt de la cartographie numérique. L’épreuve de croquis au bac a nourri un très intéressant travail d’équipe entre enseignants. Toutes ces productions ont alimenté les sites académiques, les blogs pour la classe et les sites indépendants, personnels ou associatifs.
Les moins de 20 ans en Basse-Normandie - carte lissée - Sister - Géoclip
Liens. Internet est devenu une source documentaire incontournable, grâce à sa grande capacité d’archivage, au travail des internautes et aux liens entre les pages web. Des bases exceptionnelles complètent l’apport des manuels : Web Gallery of Art, Wikimedia Commons, Survol de France, Newseum… Le réseau fait entrer « le monde » à l’école, mais à la différence des manuels, il n’en fournit pas une lecture scolaire ; il met sur le même plan le loisir et le travail.
http://lefredthouron.pagesperso-orange.fr/
L’énormité des contenus accessibles d’un clic peut submerger les élèves et perturber leur attention. Elle incite à réaffirmer le rôle de l’enseignant qui n’est plus celui qui « réinvente la roue », année après année. Elle souligne l’importance d’une veille documentaire collective, pour repérer les personnes ressources et écarter le bruit documentaire. Internet Archive redonne parfois vie aux adresses périmées…
Dans certains domaines, un réel effort serait nécessaire pour enrichir le web francophone en accès libre et gratuit. De plus, la France, pays réputé jacobin, gagnerait à harmoniser les adresses des sites éducatifs, sur le modèle du suffixe .edu utilisé par les universités aux Etats-Unis.
Valider. La fiabilité d’Internet est sans cesse questionnée, parfois davantage que la pédagogie qui accompagne implicitement son usage. Certains se contentent d’une validation hiérarchique. Enseigner la pratique d’une lecture distanciée est préférable, surtout face aux discours des médias. Le « virtuel » omniprésent, c’est en fait du « réel » : le travail des internautes, la circulation des idées sont aussi concrets que les prouesses techniques et leur financement par la société. L’obsession de la « nouveauté » mériterait également d’être analysée.
Hans Holbein, Les Ambassadeurs, National Gallery, 1533, Web Gallery of Art
Droits. Des associations proposent des contenus dont les droits d’exploitation ont été négociés au préalable. De plus, pour l’image comme pour la vidéo, rien n’interdit de solliciter les auteurs et d’obtenir une autorisation pour des usages non commerciaux.
Controverses. Certains technophobes voudraient « débrancher l’école ». Selon eux, Google Books menacerait la lecture, Wikipedia incarnerait « l’erreur à haut débit », le web rendrait « encore plus bête » et conduirait vers « une dictature des idiots» … Après la télévision, Internet la nouvelle cible d’une presse qui oublie le sens de nuance, balançant entre l’extase et l’effroi. La légende noire se nourrit tantôt de la nostalgie des humanités et de Gutenberg, tantôt d’une allergie aux excès de la promotion commerciale ou des annonces institutionnelles. Plusieurs spécialistes, dont le regretté Roy Rosenzweig, ont souligné l’écart entre les discours et les usages sociaux concrets : la numérisation ébranle le système hérité des siècles précédents, mais le web n’a jamais empêché de penser, de lire et d’écrire.
Internet militant. De nombreuses associations dynamiques savent tirer pleinement parti de l’outil exceptionnel qu’est Internet, pour questionner, débattre, mobiliser - sans oublier d'archiver en vue du travail des historiens.. cf Matériaux n° 79 - 2005. Le réseau des réseaux est au cœur de nombreux enjeux civiques : respect des libertés individuelles, protection de la vie privée, situation des droits économiques et sociaux… Autant de thèmes à débattre en classe.
.
La Chronique internet n° 412 (oct 2010) : http://aphgcaen.free.fr/chronique/412/aphg412.pdf
.