Revues prédatrices
« Revues prédatrices », bidon des sciences, Libération 21.07.2021
« Des publications pseudoscientifiques en ligne,
dont l’objectif est de réaliser des profits sur le dos des chercheurs,
tentent de les attirer en leur proposant de publier leurs études pour quelques (centaines) de dollars,
sans l’évaluation et le contrôle éditorial indispensables ».
« Omics, une revue indienne a été condamnée en 2019 à une amende de 50 M de $ dans l’état du Nevada »
Un business qui révèle aussi une crise de la production scientifique.
Avec le « Publish or Perish », les mastodontes de l’édition scientifique :
Elsevier (3 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2019), Springer-Nature, Taylor and Francis,
Wiley-Blackwell ont acclimaté l’idée qu’il faut « payer pour publier ».
« Ils ont fait de la publication scientifique un véritable business.
La brèche était ouverte : les revues prédatrices n’ont eu qu’à s’engouffrer dedans ».
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