Profs à bout de souffle ...
Un malaise professionnel profond chez les enseignants
Personne n'a intérêt à le mettre sous le tapis ( sauf...)
- Le suicide de Christine Renon
- des piques récurrentes dans lesmédias (toujours en vacances)
- de réels problèmes : hétérogénéité des élèves,
programmes chargés,
attentes fortes des parents pour Parcoursup...
Des réformes chaotiques faites dans la précipitation,
sans attention aux conditions matérielles sur le terrain
et une bureaucratie omniprésente et envahissante (réunions, paperasse...)
Cette paperasse, les enseignants n'en voient pas l'intérêt.
Pour l'institution, la priorité, ce n'est pas de résoudre lesproblèmes
et de tenter d'améliorer les choses,
mais de communiquer, de donner l'impression d'agir,
afin d'éviter d'être tenue pour responsable des dysfonctionnements.
Un ministre expert dans l'allumage des contre-feux (voile)
pour donner du grain àmoudre aux médias,
dissimuler le malaise et délégitimer toute contestation
1 détail : 87 médecins pour 1 million d'enseignants et d'agents.
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