Chassez les papillons noirs
- Chassez les papillons noirs. Récit d’une vie avant, pendant et après la Shoah (éd. du Manuscrit, 2011)
L'ouvrage de Sarah Montard est disponible en librairie (il existe une version numérique).
sur le site de l'éditeur : http://www.manuscrit.com/Book.aspx?id=14150
http://www.cercleshoah.org/spip.php?article173
http://laurentmontard.wordpress.com/chassez-les-papillons-noirs/
http://clioweb.canalblog.com/archives/2010/09/17/19082983.html
http://clioweb.canalblog.com/archives/2010/10/03/19227072.html
Pour les « écouteurs » de radio,
- Joseph Bialot, Votre fumée montera vers le ciel.
1ere partie de l'émission A plus d'un titre (23/06/2011), à écouter en différé en mp3
Lu sur le site web de l'émission :
« Joseph Bialot est né à Varsovie en 1923. Sa famille s'installe en 1930 dans le quartier de Belleville, à Paris. Son premier roman, Le Salon du prêt-à-saigner (Gallimard), reçoit le grand prix de littérature policière 1979. Plus de trente romans suivront, parmi lesquels certains évoquent ce passé qui ne passe pas (La station Saint-Martin est fermée au public, Fayard, 2004 ; 186 marches vers les nuages, Métailié, 2009) ».
Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Bialot
Sur le site de Bibliosurf : http://www.bibliosurf.com/Rencontre-avec-Joseph-Bialot
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- Jean-Marc Moriceau était invité le 20 juin, en 2e partie pour l'ouvrage L'homme contre le loup. Une guerre de deux mille ans. l'émission au format mp3 : http://media.radiofrance-podcast.net/
Orléans : pas de rencontre
Électrique ! Les syndicats résument ainsi l'ambiance de la rencontre qui s'est tenue jeudi entre les représentants des personnels de l'Éducation nationale et le recteur Marie Reynier, après le tollé suscité par ses propos sur les enseignants et l'immigration, à l'occasion d'une interview parue dans la presse régionale.
Les syndicats étaient conviés pour un comité technique paritaire. Face au recteur, ils ont annoncé qu'ils n'y participeraient pas et ont lu une déclaration, avant de lui demander des explications, en particulier sur la mise en cause du travail des enseignants. « Elle nous a dit qu'elle avait perçu l'émoi suscité par ses propos, mais n'a pas eu un mot pour nous dire sa confiance. Sa réponse ne nous satisfait pas. Nous attendons qu'elle présente des excuses écrites au personnel, par courriel », ont indiqué les syndicalistes. « C'est la condition a minima pour que l'on puisse travailler ensemble. »
Le recteur n'a fait aucun commentaire sur ses remarques concernant l'immigration, et a rejeté la responsabilité de la polémique sur la presse, ont-ils dit. Elle s'est posée en victime d'une « manipulation » et d'une « injustice » et a regretté que ses propos aient été « sortis de leur contexte ». Elle a assuré qu'elle allait désormais « se méfier des médias » et privilégierait « le contact personnel ».