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1 décembre 2010

expo : Sur les pas de Victor Schœlcher

Combats pour une abolition - Sur les pas de Victor Schœlcher

« Cette exposition du CG des Yvelines se veut l’occasion, au travers d’un homme et de ses combats, de s’interroger sur les droits de l’homme et les servitudes d’un siècle à l’autre ».
du 23 octobre au 09 janvier 2011, à Versailles (Orangerie du Domaine de Madame Elisabeth, 26, rue Champ Lagarde)
http://culture.yvelines.fr/victor-schoelcher
un dépliant (2 pages en pdf) : http://culture.yvelines.fr/sites/default/files/

Nelly Schmidt était l’invitée de Patrice Gélinet à propos de cette exposition dans l’émission 2000 ans d’histoire
A noter sa conférence pour l’association Nantes-Histoire
http://www.nantes-histoire.org/cours-passes.htm

Article de Wikipedia (avec liens externes) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Schoelcher
Un dossier sur le site du Sénat : http://www.senat.fr/evenement/victor_schoelcher/
Abolition de l'esclavage sur le site de l'Assemblée nationale

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Le décret d'abolition est signé le 17 avril 1848. Cette date n'a pas été retenue pour la commémoration, sauf à Mayotte.
voir aussi le décret n°2006-388 du 31 mars 2006 pour la métropole.
http://www.comite-memoire-esclavage.fr/spip.php?rubrique45

Comité pour la Mémoire et l'Histoire de l'esclavage :
« Le 27 avril 1848 : ce choix, a priori « évident », s’est révélé problématique et source de fortes résistances dans les sociétés d’outre-mer et dans les associations outre-mer et en métropole. En effet, ce décret ne mit pas fin à des pratiques d’exploitation brutale et il maintint le statut colonial. Nous ne souhaitions pas non plus que la date de commémoration annuelle de l’abolition de l’esclavage soit une nouvelle fois prétexte à une célébration unilatérale d’une France « bonne et généreuse » en donnant à la République tout le bénéfice de cet acte. Nous souhaitions rappeler que l’abolition de l’esclavage fut l’aboutissement de luttes et de résistances … »
« La date du 27 avril souffrait d’une trop grande ambiguïté : à la fois date d’émancipation et de perpétuation d’un système colonialiste. De plus, aux Antilles, le culte ultérieur de Schœlcher, qui a transformé le grand abolitionniste en personnage paternaliste, a fini par occulter la portée émancipatrice de son action ...».
http://www.cpmhe.fr/spip.php?article133

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- Hier, mardi, dans 2000 ans d'histoire, Jean-Clément Martin parlait de la Terreur, à propos de son ouvrage
La Terreur, part maudite de la Révolution, Découvertes Gallimard 11/2010

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